« . en l’église de Condat en Combrailles, Bach priait Gilles Cantagrel de bien vouloir l’excuser auprès du public pour sa maîtrise pour le moins aléatoire de la langue française. Coupable d’avoir féminisé le luth, dans l’intitulé de la suite en sol mineur BWV 998. Sous les doigts d’Anna Kowalska et Anton Birula, le luth prend une dimension et un poids tout autre.
De lutte, il était encore question en cette soirée. Avec l’ange ou le démon, c’est selon. On hésite à ranger Marion Fermé dans l’une ou l’autre catégorie tant sa maîtrise de la flûte à bec dépasse l’entendement.. Une conduite du souffle absolument ahurissante et à la fois confondante de pure beauté et de fraîcheur. »